Pendant la pandémie, je me trouvais à Genève et j’avais installé un petit atelier-peinture pour continuer mes recherches.
Un jour, mon journal Le Courrier contenait deux pleines pages non-imprimées. J’ai pensé qu’ils étaient à court d’encre et moi je n’avais pas de grandes feuilles pour peindre.
Alors je me suis mise à les peindre avec beaucoup de plaisir.
Puis je me suis dit que je pourrais les envoyer au Courrier, que ça les amuserait peut-être de les publier dans le journal.